Il y a plus normal. D'un côté deux chasseurs, deux héros pour l'humanité, avaient arrêtée l'Apocalypse déclarée et un Enfer sur Terre, d'une guerre d'anges et de démons débutée il y a tant d'années, et le monde qui courait à sa perte. D'un autre, un puma qui disparut aux yeux des habitants sans qu'ils ne se soucièrent en réalité que ce n'était pas la police qui avait géré cette affaire mais une simple bande d'adolescents. Et d'un dernier, des êtres surnaturels torturés par leurs instincts mais qui pourtant ont tout fait pour collaborer avec les humains, et leur prouvant qu'on pouvait leur faire confiance en les sauvant de terribles menaces dont ils n'avaient en réalité non conscience.
Il y a un an de cela, l'humanité perdit leurs plus chers héros, mais également leurs plus pires ennemis. Ils étaient désormais livrés à eux-même et, sans le savoir, étaient confrontés à des problèmes bien pires encore, mais dont le surnaturel n'avait en aucun agit. Bêtise des Hommes. Ils ont disparus du jour au lendemain sans laisser de trace, tous autant qu'ils étaient. Allaient-ils manquer à quelqu'un ? Personne ne les connaissait, malgré tout ce qu'ils ont tous accomplis en ce bas monde, et au-delà même, alors comment pourraient-ils remarquer leur absence alors qu'ils ignorent leurs existences ? Il y a un an de cela, ils étaient totalement perdus dans les abysses extrêmes d'une sorcière vengeresse dont le seul but était de leur en faire baver.
Beaucoup de vies se perdirent, ce qui affecta énormément ces nouveaux habitants. Voir leur famille, leurs amis, leurs proches, mourir sous leurs yeux, leur avait procurer un immense choc. Mais grâce à ces vies inutilement sacrifiées, ils avaient réussit à battre l'ennemi commun de tous. Et ils ne savaient s'ils devaient être heureux ou tout simplement s'apitoyer sur leur sort. Certains firent la fête, une soirée. Et prirent la deuxième option. Ils prirent tous le second choix de toute façon. Car ils étaient encore bien présents à Transylvanie, et quelque chose leur disait que la tranquillité dont faisait preuve la ville en ce moment-même de durerait plus très longtemps. Il y a un an, ils avaient encore toute leur âme. Tout leur cœur aujourd'hui brisé de mille morceaux, et surtout, de l'espoir. Aujourd'hui plus rien ne figure sur leur visage mis à part la tristesse, la torture, le désespoir.